Franse doktoren en farmaceuten hebben er niet lang over gedaan om de franse minister van gezondheid Rosalyne Bachelot te vertellen, dat ze er helemaal tegen zijn dat zij een , 19 pagina’s groot geheim plan voor gedwongen vaccinatie vanaf 28 september wil doorvoeren, om de hele bevolking te vaccineren met nominale ingrediënten , en hoogst waarschijnlijk ook met een microchip, ook door het Baxter bedrijf , wat recentelijk word onderzocht door de politie voor het opzettelijk proberen een pandemie te starten in Australië in februari.
Op 3 september werd er een brief verstuurt naar Bachelot waarin werd gevraagd om verduidelijking van haar positie in verband met de overduidelijke bewijzen in deze zaak,die onnodig en gevaarlijk zijn, om haar te informeren dat het afwezig zijn van een niet adequaat antwoord de CRI-VIE een gezamenlijk organisatie van doktoren en advocaten naar de rechter zullen gaat.
Als de rechtbank het recht van de burger zal weigeren, zullen ze gedwongen zijn om een openlijke opstand te gebruiken tegen een criminele poging van de regering voor het opdringen en blootstellen van burgers van een illegaal en gevaarlijk vaccine en dit heel stilletjes er door drukt zonder de bevolking in te lichten.
Deze zomer explodeerde Frankrijk in opstanden , zo erg dat de staatstelevisie gesommeerd werd ze niet te laten zien op tv.
Hier is het kopie van de brief die aan Bachelot gestuurd is.
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CRI-VIE
Coordination d’associations, de médecins, de scientifiques, de juristes,
pour la recherche et l’information transparentes en matière de santé
3bis, rue Henri Faisans. 64 000 PAU. Tél : 05 47 41 50 22
cri-vie@neuf.fr
Le 3 septembre 2009
Madame Roselyne BACHELOT
Ministre de la santé
Objet : Gestion de la menace de pandémie
Madame la Ministre,
La lecture de la planification logistique d’une campagne de vaccination contre le
nouveau virus A (H1N1) ainsi que celle d’une information confidentielle émanant d’un
syndicat médical, nous amène à vous adresser ce cinquième courrier.
Dans le courrier adressé à tous les préfets et aux directeurs des agences régionales
d’hospitalisation, Monsieur Brice Hortefeux, Ministre de l’intérieur et vous-même signalez
que « les premières AMM pourraient être délivrées en septembre », le périmètre exact de
ces autorisations n’étant pas connu. « En particulier, la question de l’inclusion des
enfants et adolescents de moins de 18 ans reste ouverte. Il n’est également pas exclu
que le champ de l’AMM diffère d’un vaccin à un autre ».
Vous précisez également que « pour une vaccination de masse, avec un vaccin
nouveau, les exigences de la pharmacovigilance sont majeures », les modalités de mise
en œuvre de cette pharmacovigilance renforcée étant en cours de définition.
Vous évoquez ensuite « le mélange de l’antigène et de l’adjuvant pour au moins deux
des vaccins ».
Dans l’information confidentielle, il est dit que « cette vaccination de santé publique à
l’automne sera une simple répétition de moyens pour évaluer une autre vaccination de
grande ampleur si de nouveau un vrai danger est avéré ». Il est ajouté que le « vaccin
utilisera un nouvel adjuvant très puissant qui imposera une pharmacovigilance très
étroite ».
Pouvez-vous, Madame la ministre, nous confirmer que les premières AMM pourraient
être délivrées en septembre , ce qui signifierait que les procédures ont été sensiblement
raccourcies dans le seul intérêt des laboratoires au détriment des personnes qui seront
vaccinées avant la fin d’essais bâclés et serviront par conséquent de cobayes ?
L'OMS, elle-même, reconnaît la précipitation et l’imprudence en la matière : « par
manque de temps, les données cliniques seront inévitablement limitées au
moment où on commencera à administrer les vaccins contre la grippe
pandémique. Les tests d'innocuité et d'efficacité devront donc se poursuivre
après avoir commencé à les administrer ».
Le nouvel adjuvant n’a jamais été utilisé à grande échelle, des réactions imprévisibles
sont à craindre à court (syndrome de Guillain-Barré notamment plus fréquemment
encore qu’avec le vaccin saisonnier) mais aussi à moyen et long terme (scléroses en
plaques et maladies auto-immunes) tandis que les essais ont été bâclés. Le vaccin anti-
méningo-enchéphalite à tiques TICOVAC n’a-t-il pas dû être retiré du marché en 2001,
14 mois à peine après son lancement en raison d’effets secondaires graves de par la
présence d’albumine et de mercure.
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Pouvez-vous nous assurer que ce dernier n’a pas été utilisé pour la fabrication de ces
vaccins pandémiques ?
Quels sont les deux vaccins auxquels sera rajouté le nouvel adjuvant très puissant ?
Des essais cliniques ont-ils été effectués sur ces vaccins auxquels sera rajouté cet
adjuvant ?
Ce dernier serait-il le MF59 ou autre à base de squalène ? Que vous indique la
pharmacovigilance humaine pour cet adjuvant responsable d’encéphalomyélites et de
désordres immuns chez le rat ?
Quel pourraient être d’autre part les effets sur le système immunitaire de trois doses
de vaccin antigrippal en quelques semaines, contre la grippe saisonnière en septembre,
puis deux doses de vaccin anti-pandémique à trois semaines d'intervalle un mois plus
tard ? Avec l’inévitable chute du rapport T4/T8 chez certains pendant près de trois mois,
notamment les personnes fragiles, des décompensations ne sont-elles pas à craindre
chez ceux qui recevront ces trois doses à partir de la fin septembre ?
Tandis que le Pr Antoine Flahaut, épidémiologiste, directeur de l’école des hautes
études en Santé publique de Rennes estime avec raison que « Nous ne disposons pas
d’une seule étude probante - à ma connaissance - sur l’efficacité du vaccin utilisé
comme barrière épidémique » (nous disposons à l’inverse de nombreuses études
mettant en lumière la diffusion de l’épidémie par la vaccination, qu’il s’agisse de la
variole, de la rougeole, de la polio ou encore de la grippe…), le Pr Bruno Marchou, chef
de service des maladies infectieuses au CHU de Toulouse reconnaît qu’en cas de
vaccination obligatoire « on aura quelques dizaines de milliers de cas avec des
pathologies imputées à tort ou à raison au vaccin, comme on a eu la sclérose en
plaques avec celui de l’hépatite B ».
Comme leurs collègues infirmières de Grande Bretagne et de Hong Kong, le syndicat
des infirmières SNPI CFE-CGC estime ainsi qu'une vaccination massive contre un virus
grippal relativement bénin, présente des risques, du fait d'un vaccin développé trop
rapidement, et d'un adjuvant susceptible de déclencher des maladies auto-immunes, le
remède risquant d'être pire que le mal.
Ignoriez-vous, Madame la Ministre, que grâce notamment à la vaccination contre
l’hépatite B menée à la hussarde, la fréquence de la sclérose en plaques est passée
de 20 000 en 1994 à 80 000 en 2006 ?
Ne pouvons-nous pas, ne voulez-vous pas, faire l’impasse sur un nouveau scandale
sanitaire beaucoup plus grave que celui de l’hépatite B, ne serait-ce que par le cumul des
injections, alors qu’une étude américaine de l’Université du Maryland menée sur des
animaux nous signale que le virus ne devrait pas muter (France info, 2 septembre) ?
Cette campagne de vaccination que vous projetez pour l’automne ne serait-elle qu’une
répétition générale avant une autre vaccination ultérieure de grande ampleur ?
Dans l’attente de réponses claires à l’ensemble de ces questions – et des
précédentes - que se posent les citoyens - et dont l’absence pourrait nous amener à
saisir la justice avant que le scandale n’éclate - et restant à votre entière disposition,
nous vous prions de croire, Madame la Ministre, à l’assurance de nos sentiments
respectueux.
Christian RASSON
Dr Marc VERCOUTERE
Pharmacien
Originele Bron : theflucase
Bron: weeswaakzaam
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